Jules

Jules, quelle fierté quand tu es né,
De pouvoir embrasser tes petites joues, ton petit nez,
Toucher tes petites mains, tes petits pieds,
Vraiment c’était le pied.

La chair de notre chair,
Pour toi tant de projets imaginés,
Fiers d’être ta mère et ton père,
Encore plus fous que tous nos rêves imagés.

J’ai tant rêvé d’une relation complice entre nous,
Un brin d’autorité aussi, éducation oblige,
De t’accompagner à vivre tes rêves, même les plus fous,
Pour toi, on aurait gravi l’Everest, peu importe le vertige.

Jules, tu nous as tellement comblés de bonheur,
Malheureusement, tu es arrivé et reparti de trop bonne heure,
Maman et moi t’aimons si fort, mon ange,
Toi qui as rejoint les cieux, enveloppé dans ton lange.

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